Lunch Beat // Journées de la culture

Comment décrirais-tu DJ Laurentia? Quelle est l’origine de ton nom?

En choisissant le nom DJ Laurentia, je ressuscite ma grand-maman maternelle qui portait ce nom. Laurentia Rousseau, une dame du même St-Agapit que dans la pièce d’Olivier Normand, une mélomane chez qui on finissait toujours les repas en chantant et dansant. Comme moi, elle riait fort, beaucoup, et aimait les fleurs.

Qu’est-ce qui t’inspire le plus dans le fait de faire danser les gens?

Ce que j’aime le plus dans ce travail, c’est de rendre les gens heureux et de me défouler, laisser sortir le méchant à mon tour. Les déhanchements, les sautillements et leurs dérivés ont vraiment une fonction thérapeutique!

Comme plusieurs le savent déjà, tu es coordonatrice à la rédaction et journaliste au Magazine VOIR et tu oeuvres dans le journalisme culturel depuis plusieurs années.

Qu’est-ce qui t’as amené à faire du Dj-ing?

J’ai commencé à mixer alors que j’étais encore animatrice à CHYZ. C’était un fantasme ! À ce moment-là, Julien Déry (allô Juju!) de Mauves et maintenant Notre Père était un de mes chroniqueurs, mais aussi barman au Bal du Lézard. C’est lui qui m’a donné ma première chance!

En une phrase, à quoi doit-on s’attendre vendredi 29 septembre à midi?

La base de mes sets, c’est toujours le disco: le nu comme le vieux. J’y incorpore toutes sortes d’affaires, essentiellement de la house et de l’afrobeat.


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