L’artiste en danse et interdisciplinaire Maya Guy bénéficie d’une résidence longue de 3 mois en France autour de sa création chorégraphique en cours Je rêve de la fin du monde, grâce à un partenariat entre l’Atelier de Paris, Les Récollets, la Ville de Paris, Archipel, le Groupe Danse Partout (Maison pour la danse de Québec), le Théâtre Francine Vasse – Les Laboratoires Vivants, le Centre Chorégraphique National de Nantes, et la Ville de Nantes.
La résidence de 3 mois (octobre à décembre) comprend les studios et l’accompagnement à l’Atelier de Paris et l’hébergement aux Récollets ainsi qu’une résidence d’une semaine à Nantes, dont 3 jours au Théâtre Francine Vasse – Les Laboratoires Vivants avec technique et 2 jours en studio au CCN de Nantes.
À propos de Maya Guy
Maya Guy est un·e artiste interdisciplinaire, diplômé·e de L’École de danse de Québec en 2021. Sa pratique mélange danse, performance, éclairage et tableaux Excel. Iel accumule les rôles et les slashs mais se prête au jeu de l’interprétation, notamment pour le Papillon Blanc danse, Zia Lab Créatif et Josiane Bernier. Vous avez peut-être aperçu ses créations dans Osez! en solo 2022 et 2023, des productions de Danse K par K. Toujours intéressé·e aux rencontres humaines et disciplinaires, Maya a été sélectionné·e pour une micro-résidence pendant l’École Expérimentale 2024 et a épaulé Audrey Thibeault à la mise en scène de Que Dieu te garde. Au printemps 2025, iel a co-chorégraphié avec Jeanne Forest-Soucy une pièce pour les jeunes du projet Zone Bazar. Face à la dystopie qui nous entoure, Maya s’applique à nourrir le sensible, et vous invite à faire de même.
À propos de sa création
Je rêve de la fin du monde est une création chorégraphique de Maya Guy explorant le rôle du corps et du geste dans les mouvements sociaux. Dans le contexte du capitalisme tardif, cette œuvre en construction se veut un espace pour faire le deuil d’idéaux désuets et attiser l’espoir pour un futur meilleur. Par une gestuelle inspirée par l’histoire militante et populaire, elle vise à nourrir un imaginaire au-delà du post-modernisme.
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